Pourquoi le BARF ?
Pourquoi avons nous choisi l'alimentation B.A.R.F. ?
Ceux qui nous connaissent personnellement, savent toute l’importance que nous donnons à l’alimentation d'une façon globale, ainsi que notre passion pour ce qui touche à la nutrition. Chez nous le dicton c'est « Nous sommes ce que nous mangeons ». L’alimentation, considérée comme le principal déterminant de notre santé est minutieusement adaptée à chaque membre du foyer, canins et humains sans exception.
Les débuts d’Amandine dans le BARF :
En 2009, Kelly, notre berger australien, est arrivée chez Amandine. Jeune chienne pleine de vie, elle s’est rapidement révélée sensible d’un point de vue digestif. Après quelques mois sans pouvoir trouver de croquettes correspondant à ses besoins (les principaux symptôme de l’intolérance était alors des diarrhées, des ballonnements et des reflux gastro-oesophagiens), c’est en fouillant sur internet qu’elle a pu trouver quelques informations sur ce type d’alimentation, peu développée en France à l’époque. Après seulement quelques jours, Kelly était en pleine forme et semblait adorer sa nouvelle gamelle !
Le chien, un carnivore domestique :
A chaque type de régime ses caractéristiques, et le chien possède toutes celles du carnivore : un système digestif court et simple ainsi qu’une dentition en ciseaux (mouvement vertical uniquement) comportant des molaires en lames pour trancher et des canines en pointes pour arracher.
D’un point de vue de la digestion, ne possédant pas les enzymes nécessaires pour (l'amylase), le chien métabolise mal les végétaux et les céréales, qui se retrouvent alors dans les selles. En revanche, son estomac très acide lui permet d’éliminer les bactéries et de digérer les os, cartilages, poils etc…
« Le National Research Council (NRC), qui fixe les standards en matière de besoins nutritionnels pour les chiens, ne mentionne aucun besoin en glucides. Il cite en revanche une longue liste d'acides aminés, les graisses et les minéraux. » (La tribu carnivore)
Plus précisément, Canis familiaris est un « carnivore opportuniste » : cette éspèce évolue depuis sa naissance dans l’intimité de l’espèce Homo et dépend de cette dernière pour se nourrir. L’exemple type est le cas des chiens « sauvages/ferraux », vivants aux abords des villes et non au sein d’un foyer, qui se nourrissent des poubelles de la cité et autres dêchets commenssaux. Le chien peut donc se nourrir avec d’autres aliments que les protéines animales, la viande restant l’aliment le plus satisfaisant en termes physiologiques.
Les atouts du BARF :
Ce régime convient à tous les chiens, à tous les âges ayant n’importe quel niveau d’activité physique. En cas de pathologie particulière il faudra bien sûr adapter le régime et certaines races ont besoin d’une attention particulière (le dalmatien par exemple, prédisposé aux insufissances rénales), mais aucun souci pour le terrier brésilien ! Plusieurs bébés Earthwater sont d’ailleurs nourris de cette manière.
Pour reconnaître une nourriture adaptée à son animal, il faut observer en priorité ses selles qui sont un excellent indicateur, puis la physionomie de votre chien (musclulature), son énergie, l’aspect de son poil, de ses dents etc.
Les selles sont le premier indicateur de la qualité de l’alimentation que l’on donne aux chiens ; les « crottes BARF » sont petites, rares, sèches, d’élimination facile, inodores, de couleur marron à blanches. Pour un chien en bonne santé et un moindre travail de ramassage dans le jardin, le BARF est donc la solution (lol). Posez-vous la question : si mon chien élimine une quantité de selle aussi grande que son apport alimentaire, qu'est-ce que son organisme assimile ? Le premier atout du BARF est de rendre la santé au système digestif du chien : absence de flatulences, peu de selles, haleine fraîche (ahah), et absence de tarte pour les chiens qui consomment des os charnus. Au-delà de ça, le BARF a des conséquences positives sur l’ensemble de la santé du chien :
un poil doux et brillant qui tombe moins, une meilleure forme physique et une énergie plus disponible, une résistance accrue aux maladies de type vers, allergies, eczéma, arthrose, et autres soucis liés à un déséquilibre alimentaire, un moindre risque de surpoids…
Et le plus important pour les chiens bien sûr : le plaisir gustatif ! Déguster une gamelle d’aliments crus prend plus de temps au chien qu’une gamelle de croquettes qu'il engloutis en 5 secondes. Une carcasse peut être mastiquée pendant 10 minutes pour les petites mâchoires. Le BARF est donc aussi un moyen d’occuper et de dépenser efficacement son chien.
Sources :
La tribu carnivore : nous recommandons particulièrement ce site dont les articles sont issus de sources scientifiques fiables et actualisés.
« Je nourris mon chien naturellement », Swanie Simon : ce livre est un excellent guide, clair et complet, parfait pour comprendre et se lancer dans l’alimentation crue.
Les débuts d’Amandine dans le BARF :
En 2009, Kelly, notre berger australien, est arrivée chez Amandine. Jeune chienne pleine de vie, elle s’est rapidement révélée sensible d’un point de vue digestif. Après quelques mois sans pouvoir trouver de croquettes correspondant à ses besoins (les principaux symptôme de l’intolérance était alors des diarrhées, des ballonnements et des reflux gastro-oesophagiens), c’est en fouillant sur internet qu’elle a pu trouver quelques informations sur ce type d’alimentation, peu développée en France à l’époque. Après seulement quelques jours, Kelly était en pleine forme et semblait adorer sa nouvelle gamelle !
Le chien, un carnivore domestique :
A chaque type de régime ses caractéristiques, et le chien possède toutes celles du carnivore : un système digestif court et simple ainsi qu’une dentition en ciseaux (mouvement vertical uniquement) comportant des molaires en lames pour trancher et des canines en pointes pour arracher.
D’un point de vue de la digestion, ne possédant pas les enzymes nécessaires pour (l'amylase), le chien métabolise mal les végétaux et les céréales, qui se retrouvent alors dans les selles. En revanche, son estomac très acide lui permet d’éliminer les bactéries et de digérer les os, cartilages, poils etc…
« Le National Research Council (NRC), qui fixe les standards en matière de besoins nutritionnels pour les chiens, ne mentionne aucun besoin en glucides. Il cite en revanche une longue liste d'acides aminés, les graisses et les minéraux. » (La tribu carnivore)
Plus précisément, Canis familiaris est un « carnivore opportuniste » : cette éspèce évolue depuis sa naissance dans l’intimité de l’espèce Homo et dépend de cette dernière pour se nourrir. L’exemple type est le cas des chiens « sauvages/ferraux », vivants aux abords des villes et non au sein d’un foyer, qui se nourrissent des poubelles de la cité et autres dêchets commenssaux. Le chien peut donc se nourrir avec d’autres aliments que les protéines animales, la viande restant l’aliment le plus satisfaisant en termes physiologiques.
Les atouts du BARF :
Ce régime convient à tous les chiens, à tous les âges ayant n’importe quel niveau d’activité physique. En cas de pathologie particulière il faudra bien sûr adapter le régime et certaines races ont besoin d’une attention particulière (le dalmatien par exemple, prédisposé aux insufissances rénales), mais aucun souci pour le terrier brésilien ! Plusieurs bébés Earthwater sont d’ailleurs nourris de cette manière.
Pour reconnaître une nourriture adaptée à son animal, il faut observer en priorité ses selles qui sont un excellent indicateur, puis la physionomie de votre chien (musclulature), son énergie, l’aspect de son poil, de ses dents etc.
Les selles sont le premier indicateur de la qualité de l’alimentation que l’on donne aux chiens ; les « crottes BARF » sont petites, rares, sèches, d’élimination facile, inodores, de couleur marron à blanches. Pour un chien en bonne santé et un moindre travail de ramassage dans le jardin, le BARF est donc la solution (lol). Posez-vous la question : si mon chien élimine une quantité de selle aussi grande que son apport alimentaire, qu'est-ce que son organisme assimile ? Le premier atout du BARF est de rendre la santé au système digestif du chien : absence de flatulences, peu de selles, haleine fraîche (ahah), et absence de tarte pour les chiens qui consomment des os charnus. Au-delà de ça, le BARF a des conséquences positives sur l’ensemble de la santé du chien :
un poil doux et brillant qui tombe moins, une meilleure forme physique et une énergie plus disponible, une résistance accrue aux maladies de type vers, allergies, eczéma, arthrose, et autres soucis liés à un déséquilibre alimentaire, un moindre risque de surpoids…
Et le plus important pour les chiens bien sûr : le plaisir gustatif ! Déguster une gamelle d’aliments crus prend plus de temps au chien qu’une gamelle de croquettes qu'il engloutis en 5 secondes. Une carcasse peut être mastiquée pendant 10 minutes pour les petites mâchoires. Le BARF est donc aussi un moyen d’occuper et de dépenser efficacement son chien.
Sources :
La tribu carnivore : nous recommandons particulièrement ce site dont les articles sont issus de sources scientifiques fiables et actualisés.
« Je nourris mon chien naturellement », Swanie Simon : ce livre est un excellent guide, clair et complet, parfait pour comprendre et se lancer dans l’alimentation crue.
Auteur : Marie Cuzin
Propriété exclusive Earthwater
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